Merci Nelly,
Extrait du livre le Musée des Supplices de Roland Villeneuve.
La Brinvilliers subissant la question
En France, la cruauté de ce supplice le réservait à des crimes exceptionnellement graves. Sous l'Ancien Régime, il était destiné aux régicides. Avant que son corps soit rompu par écartèlement, le condamné était dénudé. On liait ses membres aux quatre chevaux de trait ; puis on pratiquait des entailles aux jointures, afin de faciliter la rupture ; parfois la main qui avait tenu l'arme du crime était brûlée au soufre.
En Asie et particulièrement en Inde, il était parfois utilisé avec des éléphants, notamment…