première parution le 14 juin 2010.
Saint-Gilles
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Carte n° 23
La place Julien Dillens est établie sur l'ancien chemin de la Croix-de-Pierre, grimpant autrefois à travers champs vers la place Paul Janson.
Carte n° 24
Et voiçi le vieil Hôtel des Monnaies qui occupe depuis 1880 un hectare de bonne terre Saint-Gilloise.
Remarquez la charrette laitière à chien, spectacle courant avant 1914.
Carte n° 25
Carte n° 26
Rue de la victoire, cette sombre rue engloba vers 1870, le chemin du Haut Pont. Ce sentier grimpait jadis vers Ma Campagne en coupant la rue Moris. Cette dernière alors le chemin du Foin.
Carte n° 27
A droite, la sortie de la rue Blaes.
La porte de Hal, se trouve dans le dos du photographe.
Carte n° 28
La même vue, mais la maison formant le coin de la rue blaes a changé.
Carte n° 29
Cette très longue rue, nous mène à Forest. On trouvait au début de la rue de nombreux bars aux filles légères.
Carte n° 30
Par la rue L'Argonne, rue de Prusse avant 1914, nous pouvons voir les colonnes de la gare du midi.
Carte n° 31
Hôtel de l'Espèrance, à côté, Désiré Médart tenait l'Hôtel de la ville de Tournai.
Carte n° 32
De la terrasse de l'Espèrance, on gardait à l'oeil la grande horloge de la gare du Midi.
Carte n° 33
Les Hôtels de l'Avenue Fonsny n'ont presque pas changé. Quant au sergent de ville et le petit ket !
Carte n° 34
L'Avenue Fonsny, du nom d'un maire Saint-Gillois est vieille comme la rue de Mérode. Et pour le peï qui pose, il y a un tunnel routier sous ses pieds.
Carte n° 35
La cour arborée de l'Hôtel des Acacias (avant 1914). Dans le quartier passa ici pour la premère fois en 1870, un tram à cheval.
Carte n° 36
La place de Constantinople est notre actuelle place des Héros.
Le tram qui stationnait en terminus chaussée de Forest, regagnait alors par ici, la rue de Suéde et la rue de Mérode.
Plus tard c'est un 49 électrique que l'on connu ici.
Carte n° 37
Carte n° 38
Cette vaste esplanade est entièrement investie par la jonction Nord-Midi.
les cochers attendent les voyageurs.
Carte n° 39
Salut aux porteurs-commissionnaires, (en blanc) aux marchands ambulants, aux receveurs du tram.
Carte n° 40
Ainsi était les lieux, de 1869 à 1910, lorsque débuta la jonction. Cette gare triomphe de néo-corinthien dûment agrémentée d'allégories diverses, fut enlevée à l'amour des siens en 1949...
Carte n° 41
Autrefois, à cet endroit les prés des Foulons le long des bas marécages de la Senne.
Carte n° 42
Nos Grands-Parents se souviendront probablement du Tramcar Nord-Midi, petit omnibus de deux chevaux qui peupla le spectacle des rues bruxelloises de 1890 à 1914.
Carte n° 43
C'est Vanderscheuren et Ci° qui avaient la concession de ces aimables joujoux, si agréablement ventilés l'été, peut-être un peu frais en hiver..
Carte n° 44
Les Saint-Gillois désireux de se rendre au Cinquantenaire, pouvaient prendre le tram 59.
Carte n° 45
Il y avait aussi le tram 49, (le tram du bois), qui passait par la chaussée de forest, de la place Bethléem, et la rue Théodore Verhaegen. C'est en 1895 que les premiers tramways électriques firent leur apparition à Bruxelles.
Carte n° 46
Le tram 82 à la baladeuse ouverte, et son bureau de poste sur le coin de l'avenue Fonsny.
Carte n° 47
La Senne à ciel ouvert.
Carte n° 48
On voyait avant 1914, rue de France, au coin de la rue de l'instruction, un très ancien moulin à eau.
C'était le Nieuwmolen, juste à la limite de Cureghem.
Carte n° 49
Ce Nieuwmolen servait depuis toujours aux exploits de la jeunesse de l'endroit. En 1900, c'était une piscine tout à fait organisée, avec maîtres nageurs, matériel de sauvetage, et même port obligatoire du caleçon de bain.
Carte n° 50
Après le bain, on allait à la Laiterie du Nieuwmolen.
Carte n° 51
L'avenue Fonsny et la Brasserie de l'Avenir.
Carte n° 52
L'Avenue du Roi et la Brasserie de l'Avenir.
Carte n° 53
Un réverbère à gaz à cinq lanternes, une charrette de laitier et son chien.
Carte n° 54
Devant nous, la rue de Mérode en direction de Bruxelles.
Carte n° 55
Le tram 49 place Bethléem.
Carte n° 56
Carte n° 57
Le Lion Belge était situé au coin de la rue Fernand Bernier et de la rue Théodore Verhaegen.
Une petite pensée pour la maman de Jeanine Goossens, qui a travaillé à cet endroit.
Carte n° 58
Bien peu a changé, de nos jours, de ces maisons formant l'arrivée de la rue Vanderschriek dans la place Bethléen.
Carte n° 59
Remontons à présent la rue de Bosnie jusqu'aux maisons ouvrières de la rue Gisbert Combaz. Ce cliché nous montre l'entrée du vieux cimetière de la rue au Bois, que l'on vit ici de 1862 8 1893.
Il faut étre vieux Saint-Gillois pour se rappeler l'ancien cimetière, entourant l'église paroissiale, et qui fut supprimé en 1862. On le remplaça par le cimetière de la rue au Bois, mis en service le 12 mai 1862, et qui mesurait 67 ares 15 centiares de superficie.
Ce champ de repos devint bien trop vite exigu, à raison du rapide accroissement de la population. On étudia plusieurs projets d'agrandissement, dont aucun ne fut approuvé par l'autorité supérieure. C'est alors que le chox se porta sur un terrain sis à Calevoet sous Uccle, à front et à droite de la chaussée menant à Alsemberg. Le cimetière de Saint-Gilles y fut ouvert le 1er mai 1881, pour ne rester en service que moins de quatorze ans, car il fut désaffectté le 28 janvier 1895. Le terrain n'y convenait nullement pour un champ de sépulture : formé d'un manteau superficiel limoneux, il était, de plus, fort humide dans toute la partie en contre-bas à l'opposé de la chaussée. L'eau suintait dans les fosses, au moment du creusement, et les cercueils s'y trouvaient en pleine nappe aquifère, ce qui empêchait la consommation des corps au point que les cadavres de personnes grasses se transformaient en ADIPOCIRE.
Photo 1
Carte n° 60
La rue au Bois de jadis menait aux taillis mal famés du futur parc de Forest.
La bourgeoise avenue des villas lui est de quelques années postérieures.
Carte n° 61
La place albert en 1903. Pas la moindre maison sur la gauche de l'Avenue Albert, pas de tram, pas de voitures. Une dame son chien, sa brouette et des fiacres
Carte n° 62
1910, le tram 14 est maintenant à son terminus du Parc de Sint-Gilles. Des enfants à hautes bottines se hâtent vers l'école.
En ce temps-là, le tram était un luxe coûteux, en descendait en ville à pied ou des enfants avaient pas de bottines du tout.
Carte n° 63
Le tram 10 muni de ses grands réservoirs de freins à air comprimé, faisait jadis une vaste boucle par la chaussée d'Alsemberg, le Globe et l'avenue Brugmann.
Le café Albert 1er, à droite, était alors la Brasserie Brabançonne.
Carte n° 64
Remarquez qu'en 1913, la Brabançonne est devenu l'Alcazar et la rue courbe est encore loin de s'appeler rue Arthur Diderich.
Carte n° 65
Saint-Gilles d'avant 14, serait incomplet sans une photo de son régiment de la Garde-Civique, qui comptait pas moins de 1.302 hommes en 1914.
Saint-Gilles en 1904
Vu à vol d'oiseau du haur de l'Hôtel de Ville.