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La Saint V

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Première parution, 20 novembre 2009

La Saint
V

 

STATUE Théodore Verhaegen

Photo 1 - merci à Guillaume Kekenbosch

Pierre-Théodore Verhaegen est né le 5 septembre1796à Bruxelles et y décédé le 8 décembre1862 fut un avocat belge et leader du Parti Libéral.

 

En 1836, il est élu au Conseil provincial du Brabant. Il œuvre pour la création d'un parti libéral créant en 1841 la Société de l'Alliance, ce qui aboutit à la convocation en 1846 du premier Congrès libéral. Il fonde, fin 1846, un société rivale, l' Association libérale et Union Constitutionnelle de Bruxelles.

En 1837, il fut élu député libéral de


Belgique Ancienne Expo 1935

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"Belgique Ancienne Expo 1935"

 

Photos faites par mon Bonpapa: Ghisbert LIGNIAN sur appareil Rolleiflex avec film spécial Rollei d'origine format un peu plus petit que le 6X6 des Rollei venus aprés et qui utilisent le film 120 (bobine 6X9 gros axe).

Ecrit par Roger CÔME

 

 

Place (F14-2)

Photo 1
Merci à Roger CÔME

 

 

La Cravache-2 (F14-3)
Photo 2

 

 

 

Taverne-1 (F14-6)
Photo 3

 

Tiens....tiens..... Andrée !

 

 

 

La Taupe Dorée-1 (F13-2)

Photo 4

 

BLOEMHOFF  (F13-1)

Photo 5

 

 

 

Brodeuse-1 (F13-5)

Photo 6

 

La Bécasse-1 (F16-4)

Photo 7

 

LA BECASSE

 

 

La Bécasse-2 (F16-3)
Photo 8

La Becasse

 

 

Tarif (F14-5)
Photo 9

 

 

 

La Couronne-2 (F16-5)
Photo 10

- La Couronne -

 

 

 

 

La Couronne (F14-1)

Photo 11

 

- La Couronne -

 

 

Stand-2 (F16-1)
Photo 12

- Le STAND -

 

 

Arcade (F13-3)

Photo 14

 

- ARCADE -

 

 

Taverne-1 (F13-4)

Photo 15

 

Taupe Dorée-2 (F122-1)

Photo 16

Horloges bruxelloises

Gastronomie bruxelloise.

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GASTRONOMIE BRUXELLOISE : LES FRICADELLES…INCONTOURNABLES !

1.Qu’est-ce que des fricadelles ?

 

Certains comparent les fricadelles au fricandeau, à la fricassée, au fricot, soit autant de « petits morceaux friands ». Plus simplement, les fricadelles relèvent, à l’origine, de la cuisine ménagère et permettent d’utiliser les restes de viande d’un repas. On peut les faire de diverses façons, avec du hachis de porc pur ou avec un mélange de porc et de veau, ou encore en y ajoutant de la viande cuite. Rien de commun donc avec les fricadelles industrielles, que seuls les ignorants confondent avec les fricadelles traditionnelles : ne pas confondre, en effet, utilisation des restes de viande du ménage et récupération de déchets alimentaires industriels ! On présente souvent les fricadelles sous la forme de saucisses, mais les recettes traditionnelles que nous allons vous faire connaître leur donnent aussi la forme de boulettes de taille variable qu’à Bruxelles on nomme « ballekes ».

Voici la recette la plus courante :

Faites hacher assez fin 250 gr de veau, autant de porc un peu gras, la partie connue sous le nom de « spiring » ou collier convient, de même que le bas d’épaule. Mettez le hachis dans une terrine et ajoutez 100 gr de pain trempé au lait et exprimé, un œuf, sel, poivre, très peu de muscade râpée et travaillez bien le tout. Formez en des boulettes de la grosseur d’un bel œuf et rangez-les dans un plat à rôtir. Arrosez de saindoux fondu ou de beurre et faites cuire au four pendant une vingtaine de minutes. On peut servir avec une sauce piquante tomate, ou simplement avec la cuisson. Servir avec de la purée de pommes de terre.

2.Fricadelles à la bière.

 

Hachez 700 gr de viande de bœuf et 300 gr chair entrelardée de porc ; relevez le hachis dans un bol, ajoutez-y une forte tranche de pain humectée de lait, deux œufs, sel, poivre et muscade ; mêlez bien et formez les fricadelles. Faites blondir dans une casserole basse un peu de beurre ou de bonne graisse ; rangez-y les fricadelles, laissez-les roussir des deux côtés ; mouillez avec un demi-litre de bonne bière, couvrez aux deux tiers et laissez cuire doucement. Dressez les fricadelles sur un plat rond ; dégraissez la cuisson, liez-là avec un peu de beurre frais manié avec une demi-cuillerée de farine, faites prendre un bouillon, versez sur les fricadelles et servez.

3.Fricadelles aux endives.

Pétrissez 250 gr de chair à saucisse avec une petite tranche de pain trempé au lait et un œuf. Formez-en six boulettes un peu allongées que vous mettez à cuire au four. Par ailleurs, hachez un gros oignon, mettez-le dans une casserole avec un morceau de beurre, faites cuire quelques minutes et ajoutez deux belles endives, coupées en tout petits morceaux. Couvrez et laissez fondre. Lorsque les endives sont bien fondues, mélangez bien et mettez au milieu les fricadelles sans la graisse qu’elles auront rendues. Couvrez et laissez mijoter sur le côté du feu pendant une heure. Servez les endives sur un plat long, les fricadelles sur les côtés et à part un légumier de purée de pommes de terre. Pour rappel, on appelle souvent erronément « endive », le chicon (ou witloof ou chicorée de Bruxelles), alors que l’endive est produite par le « witloof » après arrachage et forçage des pieds.

4.Fricadelles charcutières.

Travaillez 500 gr de hachis de porc et de veau avec 100 gr de pain trempé au lait et exprimé. Ajoutez un œuf et l’assaisonnement ordinaire en tenant compte que le hachis tout fait est généralement déjà lui-même fort salé. Formez avec le mélange huit boulettes que vous passez légèrement dans la farine et faites-les rissoler dans une casserole contenant du saindoux bien chaud. Retirez-les sur une assiette et mettez à leur place un gros oignon haché. Faites rissoler et saupoudrez avec une cuillerée à soupe de farine. Mélangez bien et versez par-dessus un demi-litre de bouillon ou d’eau dans laquelle vous aurez fait dissoudre un cube de bouillon concentré. Ajoutez une cuillerée à soupe de purée de tomates, une dizaine de cornichons coupés en tranches, faites bouillir en mélangeant et ajoutez les boulettes.. Couvrez et laissez mijoter pendant trois quarts d’heure. Servez avec une purée de pommes de terre ou une pomme de terre au gratin. Le hachis de porc ou de veau permet d’obtenir le meilleur résultat, alors que le bœuf donne des boulettes coriaces et sèches.

5.Fricadelles à l’estragon.

Déposez, dans une terrine, un demi-kilo de hachis de porc bien fin ou de veau et de porc. Ajoutez 50 gr de pain trempé au lait, deux œufs, un gros oignon haché et cuit dans du saindoux, une cuiller à café de persil haché avec autant d’estragon. Pétrissez bien le tout et formez en six boulettes que vous aplatissez dans le creux de la main, de façon à ce qu’elles soient plus épaisses du centre que des bords.. Mettez-les à cuire au four ou faites-les cuire à la poêle dans du saindoux. Durant ce temps, hachez un gros oignon, mettez-le dans une casserole avec une cuillerée de beurre, faites légèrement rissoler, saupoudrez avec deux cuillers à soupe de farine, mélangez et ajoutez quatre décilitres de bouillon, deux cuillers à soupe de vinaigre, une de purée de tomate et laissez cuire durant une vingtaine de minutes. Ajoutez alors les fricadelles et une cuiller à café d’estragon haché. Laissez mijoter doucement durant un quart d’heure et servez bien chaud avec une purée de pommes de terre.

6.Fricadelles potagères.

Mélangez à 200 gr de hachis de porc ou de bœuf une forte cuiller de crème de maïs ou de farine, assaisonnez et formez avec ce hachis six à huit boulettes. Faites-les colorer de toutes parts dans une casserole contenant une cuiller de saindoux ou de bonne graisse. Ajoutez 100 gr d’oignons coupés en fines tranches, laissez prendre couleur, ajoutez une petite gousse d’ail hachée et versez par-dessus un demi-litre d’eau chaude. Assaisonnez de sel, poivre, un peu de thym et de laurier et placez par-dessus un kilo de pommes de terre coupées en tranches minces. Par ailleurs, lavez et coupez en petits morceaux 200 gr de petites laitues et mettez-les après les avoir bien égouttées par-dessus les pommes de terre. Couvrez et laissez cuire pendant une heure à petit feu. Au moment de servir, faites évaporer le trop de liquide, rectifiez l’assaisonnement et servez dans la casserole. En place des petites laitues, la chicorée de Bruxelles (ou chicon, witloof) peut convenir.

Eric TIMMERMANS.

Sources : Cuisine et Folklore de Bruxelles, Brabant, Gaston Clément, Le Sphinx, 1972, p. 35-37.

Le pendu

Vendeur de journaux

Saint Eloi

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 première parution, le 2 décembre 2008.

 

12_Saint_Eloi_ordination

 

La vie de Saint Eloi est celle d'un homme de grands talents, qui, en situation de pouvoir et de richesses, toujours, sans jamais défaillir, est resté dans une parfaite fidélité à ce qu'il avait placé au centre de sa vie : Dieu.

Il a inspiré bien des légendes. L'une a retenu tout particulièrement mon attention : voulant ferrer un cheval rétif, il en aurait coupé le pied puis remis en place... tout simplement ! Outre patron des orfèvres, il est donc aussi et entre autres, patron des forgerons et maréchaux-ferrants.

A Saint Eloi est ainsi lié le travail du plus précieux métal, l'or et le cheval. Réalité et mythe ici s'éclairent l'un l'autre pour nous faire part de ce comment l'homme peut assumer dans le monde avoir des dons, accepter qu'ils soient reconnus, recevoir richesses matérielles, pouvoir et demeurer humble et fidèle.
Le travail du métal ne s'accomplit-il pas dans l'Hadès, au royaume du dieu forgeron Vulcain, où s'accomplit la transformation de la pierre noire en or ? N'est-ce pas dans nos propres ténèbres qu'il nous faut descendre pour découvrir les véritables richesses ?

Alors le cheval devient l'indispensable monture : cheval noir, chtonien [1], il accompagne la part de nous-même qui doit mourir, conduit aux transformations / transmutations nécessaires, il est lien entre conscient et inconscient ; cheval de feu, expression de « l'homme de désir » lorsqu'il apparaît dans toute son impétuosité, sa générosité ; cheval blanc ailé, il conduit où l'esprit commande, monture des dieux, il est nommé «  Fidèle et Véritable » dans l'Apocalypse.

« Souvenez-vous, Seigneur, que ma vie n'est qu'un souffle et un peu de vent. »(devise de Saint Eloi)
Merci à Guillaume KEKENBOSCH pour le documentwink

Notre-Dame de la Chapelle


Sainte-Gudule

Rue Marché aux Herbes

Nos G'Parents à Bruxelles

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Photo n°1

Brabanconne

Photo n° 2

 

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 Photo 3

Cadavres de Soldats

 

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Photo n° 4

 

 

Devant le Palace Hôtel

Photo n° 5

 

Palais d'Ete

Photo n° 6

 

Doche

Photo n° 7

service de l(Alimentation

Photo n° 8

Camion de l'oeuvre de l'alimentation

 

 

Soupe + pei

Photo n° 9

Personnel dans la cour de l'école.
Regardez bien le Monsieur à l'extrême droite

 

 

Distribution de Soupe - rue du Vautour

Photo n° 10

L'école de la rue du Vautour pendant la guerre 14-18

 

La file sur la G'Place

Photo n° 11

 

Des Bruxellois en 1918 faisant la file pour obtenir un repas chaud à emporter distribué par un restaurant de la Grand- Place.

 

rue de la Buanderie

Photo n° 12 - Collection Jean Copain.

Coin de la rue de la Buanderie et d'Anderlecht.
Le gros bonhomme est de nouveau sur la photo
Serait- ce un personnage important du quartier ?

 

La Place Fontainas

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Il était une fois
LA PLACE FONTAINAS

Avant le voûtement de la Senne, à l’endroit de la place actuelle se trouvait la rue de la Petite-Ile représentée ci-dessous par un dessin  de E. PUTTAERT – 1862 – extrait « Souvenir du Vieux Bruxelles » par Joe Diricx de Ten Hamme tome II.

Au n° 4 de la rue habitait en 1835, mon aïeul avec ses huit enfants  et son épouse Catherine VAN MOORTEL, Jean HEYMBEECK, scieur de bois d'acajou.

 

petite ile

Monsieur Gustave Abeels, dans son livre intitulé « LA SENNE » décrit le dessin ci-dessus
« là où il y a un rai de lumière – un pont franchissait la Senne. On aperçoit, à gauche, le coin de la façade de l’église de N.-D. de Bon Secours ».

Une fois passé l’impasse du Meunier, la rue du Jardin des Olives et le pont du Bon Secours, on entrait dans la rue du Marché au charbon pour ensuite…….

 

petite-ile bis

 

 La rue comptait au moins deux impasses, dont un grand nombre d’habitants, décédèrent du choléra suite à l’épidémie de 1866.

Quant à Jean HEYMBEECK et son épouse, ils sont décédés, tous les deux, âgés de 40 ans, et ce dans l’année 1840. Leurs enfants ont été élevés par leur Grand-Mère, qui habitait rue de Terre-Neuve. 

 


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 La petite île à la fin du 17ième siècle.  

Cette reconstitution en plâtre a été faite par monsieur Joseph Dubois. Cette photo est extraite d’un livre de Jean D’Osta « LES RUES DISPARUES DE BRUXELLES ».
Je cite Mr. d’Osta : « A l’arrière plan : le mur de la 1ière enceinte et les deux tours de la porte d’OVERMOLEN (marché au charbon).

La rue de la petite île reliait les deux branches de la Senne entre le pont d’Overmolen et le pont de la Barbe (visible à gauche) menant à l’impasse de la Barbe et de la rue d’Anderlecht. La place Fontainas occupe maintenant ce site.

 

Un puis un jour de 1870
"PATAAAT – RATIBUS".
Les travaux du voûtement de la Senne. (clic)

 

fontainas2

Vue générale de la futur Place Fontainas et du Boulevard Central
Point rouge, on aperçoit au loin, le temple des Augustins (Pl. de Brouckère)
3 points rougesà droite le dos de l’église du Bon Secours)

  

Futur Place Fontainas - 1870
Le même site, mais quelques semaines plus tard !

 

Août 1870 - prise vue de la rue des Teinturiers - vers la rue de la Petite-Ile

Août 1870 - prise de vue de la rue des Teinturiers - vers la rue de la Petite-Ile

 

902 maisons seront détruites pour le voûtement de la Senne.
Elles étaient occupées par 2.794 ménages comprenant 7.946 personnes.
Source LA SENNE de M. Gustave ABEELS.

 

Et dans le nombre Catherine HEYMBEECK, (fille de Jean et Catherine).
Catherine avait épousé Joseph VAN WAERBEEK, ce dernier avait une petite fabrique de peignes située impasse de la Palette, une de très nombreuses impasses de la rue des Chats.
Source LA SENNE, page 39, de M. Gustave ABEELS.

Parmi les ouvriers, les deux frères de Catherine, Joseph et mon arrière Grand-père Louis, qui suite à l’éventration du bas de la ville, durent prendre leurs clic et leur Clac.
Pour Joseph et son épouse Marie Thérèse NOËL, blanchisseuse de son état, dans un 1er temps, la rue du Lavoir et ensuite la rue du Faucon etc. etc....
Et pour Louis, la rue des Vierges. 

 

Place Fontainas - Imp. de la Barbe
La Place Fontainas aux environs de 1900 (Coll. Le pharmacien Jean Copins)
Merci à Guillame Kekenbosch pour la photo.
Vous pouvez remarquer que "La Distillerie d’Alost" et l’impasse de la Barbe sont encore au niveau du sol, d’avant voûtement de la Senne.

 

Place Fonainas & rue d'Anderlecht
Place Fontainas - Dans le fond l'entrée de la rue d'Anderlecht.

Ci-dessous le même site vu d'un autre angle, les maisons à droite
appartiennent à la rue des Moucherons (ex rue des Chats). 

 

guillaume kekenbosch,serge bare,nicolas luppens

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cocher Place Fontainas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

Les Cochers

A l’autre coin de l’impasse de la Barbe,  face à la Cour de Bruxelles, était ouvert un petit café.

Les cochers des quatre fiacres de la Place Fontainas le fréquentaient  et y pouvaient acheter l’équipement de leur profession, les chapeaux, les fouets, les lanières pour fouets, etc.

Sur la place une fontaine servait jadis d’abreuvoir pour les chevaux.

 

 


place Fontainas005 (2)

 

 

PLACE FONTAINAS2

la distillerie d'Alost !
TOUT FOUT LE CAMP MONSIEUR 

 

place Fontainas 003

 

Un cornet à deux boules, c'est pour l'aveugle avec sa canne blanche.

 

Lemonnier 11-06-39
La Place Fontainas dans son dos.
Le papa de Serge, prend la direction de la Place Anneessens.

 

PLACE FONTAINAS 1915

 Les grands boulevards et la Place Fontainas vers 1915.

 

fontainas (abris)

Les grands boulevards et la Place Fontainas vers 1950 – 60
A gauche de la photo, devant les pancartes publicitaires, on aperçoit l’abri
où les gens pouvaient se mettre en sécurité lors des bombardements de la guerre 40 – 44.

 

Amélie BERNAERTS 1965

Le cortège funèbre, d’Amélie BERNAERTS, vient de passer la rue Philippe de Champagne et se dirige vers la place Fontainas.

 

Juin 1966 2

 

Le cortège funèbre arrive à la Place Fontainas, du côté de la rue de Bogards
La dernière petite dame (avec son parapluie) est "Wiske Van Laurent" et à côté d’elle, Jeanneke de la rue des Navets, elle vendait du "Palmehaut" devant le Vieux St. Pierre et le reste de l’année elle était, dame de cour au cinéma STAR, et selon francine quelques temps aussi au cinéma CARLY.

 

Ent5

 

On aperçoit encore un peu la vitrine du magasin de meubles LEURIN et celle de mon photographe. Devant, le Monsieur aux cheveux gris, c’est mon cousin BREU et à côté les deux beaux-frères de mon père, suivi de ses belles-filles et de sa fille Jeannine.

 

 place fontainas a11

 Coin fontainas - Bogards

 

Amélie BERNAERTS - Eglise

 

Arrivé du cortège à l’église du Bon Secours, où tous les événements importants ont eu lieu (enterrements et Baptêmes). Sur cette photo, les personnes qu’on aperçoit viennent presque de tous les quartiers de Bruxelles, Deuvelshouk, Vismet, Place Anneessens, les vieux blocs et la Marolle.

 

carabin

L'église du Bon Secours vu par CARABIN & ci-dessous en jour d'octobre 2008, par Nicolas Luppens.

 

 

baptème1

 C'est moi qui tiens la bougie, lors du baptême d'un enfant de ma sœur

 

 

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Photo de Nicolas Luppens

 

En dernier regard sur la Place Fontainas

 

Place fontainas - Navets

 

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Extrait de "BRUXELLES SUR SENNE" - Libro-Science.

 

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 La Jambe de Bois

 

La Jambe de Bois était située à droite  de l’impasse et il fallait descendre quelques marches, pour accéder à une espèce de Cave.
Les voyous de la strotche, ne pouvaient évidement pas rentrer. Les jours de la Saint Verhaeghen les kets attendaient les étudiants pour leur prendre  leur « Pen » ce qui ne se passait pas sans bagarres.  

 

place Fontainas 9 11 13 15

 

baptème

 

 PLACE FONTAINAS 1
Photo Guillaume Kekenbosch

 La Place Fontainas Aujourd'hui

 

 

PLACE FONTAINAS 2
Photo de Guillaume Kekenbosch

 

Un grand MERCI pour les photos à

Guillaume Kekenbosch
Nicolas Luppens
Serge Baré 

 

 

Noël 2015

Rue de la Clé

Noël

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joyeux noël

24 décembre 2008 

 

Noël 2008 (2)a

Grand Place de Bruxelles

 

MAISON DU ROI

 

Arbre de Noël

 

Le petit Jésus

 

Hôtel de Ville 2

 

grande place 005

 Photo : Guillaume Kekenbosch

 

grande place 006

Photo : Guillaume Kekenbosch

 

Grand Place (Small)

Photo: Léon Paris.


Smoukelaik

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A VOS CASSEROLLES
Guillaume vous souhaite un bon appétit
Traduit en Bruxellois par francine
Smoukelaik (15 février 2009)

 

 

 

 

essekes

Essekes

 

 


gebeste kop

Gebeste Kop

 

 

kalfs eteke

 

Kalfs Eteke

 

 

 

osse toung

 

 

 

 

Osse  Toung

 

 

ster klute mi madere

 

 

 Stere Klute mi Madère

 

 

zwete panche

 

Zwete Panche

 

Op de Marolle

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Op de Marolle.

 

1848_1914
Le Palais de Justice de Bruxelles

 

RUE DES MINIMES 1897
Crayon et aquarelle sur papier, 50,5 cm x 47,3 cm. Signé en bas à droite. Filigrane J. WHATMAN 1891
Merci à Guillaume Kekenbosch

Aujourd'hui la rue du Faucon monte de la rue Haute vers la rue Montserrat, qui formait autrefois le dernier tronçon de la rue des Minimes. Son origine remonte vraisemblablement ay VIV siècles, Son ancien nom est la rue du Bourreau, car le bourreau habitait une maison dans la partie basse de la rue.

 

andre arix,guillaume kekenbosch,nelly lallemand

Photos de Jef Slagmulder Photo 1

La "Breime" et ses habitants de la rue aux Laine. 

 

andre arix,guillaume kekenbosch,nelly lallemand

 Photo 2
A 6 Jean Stevens - B 5 et B 6 les Parents Stevens

 

andre arix,guillaume kekenbosch,nelly lallemand

andre arix,guillaume kekenbosch,nelly lallemand

andre arix,guillaume kekenbosch,nelly lallemand

Merci à Guillaume Kekenbosch, pour Jeanine Clews et sa maman.

 

Le quartier des Minimes
A la mémoire de ses Martyrs.

 

SOUVENIR RUE DE LA PREVOYANCE
Merci à Guillaume Kekenbosch.

 

marollekermis1

Un dessin  de Raymond GOFFIN représentant
François Stevens "Bourgmestre de la Commune libre de la et des Marolles". - 1983.

 

Monument des vivants

LA RUE DU FAUCON

A un titre de gloire de plus, depuis 1933 L'esprit des MAROLLES.

Il représente des types marolliens (comme de gauche à droite) "ZOT LOWIETCHE". LE PIOT, SA KROTCHE, LE POTTEZOEIPER, LA BELLE SOEUR DE KIKEI, une petite fille qui tient son frère dans ses bras, l'accordéoniste JEF ARIX dit le KRUMME, sans oublier le ZINNEKE.
Ecrit par Guillaume Kekenbosch.
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Je crois que ce monument est unique au monde.
A son inauguration tous les personnages étaient de purs Marolliens et ils étaient tous en vies, de là le nom du Monument. D'après ce que l'on m'a raconté le monsieur avec l'accordéon serait le grand-père de monsieur Henri Sempo. Peut-on confirmer cela?
Ecrit par Nelly Lallemand.

 

Anne & Prosper Kohne
Photo 3 - Photo de Pierrot Heymbeeck

Un clic sur la photo - deux habitants de la rue de l'Abricotier.
Anne & Prosper KOHNE

 

Merci Nelly

 Voici un dessin de Raymond Goffin le prince de la Marolle et peintre de la Marolle. Il a offert ce dessin à Mich (le mari de rosine) il y a environ 20 ans
Ecrit par Nelly Lallemand

 

Un grand MERCI à Francis Verbesselt
(Titi) pour les photos  ci-dessous

 

Kermesse

Photo 4 - Nelly Lallemand

C'était Marolle kermis. Je m'en rappelle comme si c'était hier. Je devais avoir 12 ans et pour l'occasion j'avais été chez le coiffeur. J'étais sur mon trente et un avec un petit ensemble bleu marine et une jupe plissée soleil etc. La kermesse c'était surtout des concours. Les enfants faisaient la course dans un sac à patates et dans la bouche une cuiller avec une pomme de terre dessus. Moi j'étais trop "steif" et puis j'avais peur de me salir donc j'allais plutôt au moulin qui se trouvait contre le mur du palais au niveau de la rue du Faucon. J'attendais que le moulin s'arrête quand tout à coup j'ai reçu un ballon rempli d'eau sur moi. J'étais trempée jusqu'aux os. Adieu plissé soleil ! Mes cheveux dégoulinaient.
A ce moment là j'ai regardé vers le haut et j'ai vu les coupables à la rampe du palais. ET QUI ETAIT LE CHEF DES OPERATIONS ET LE CHEF DE LA BANDE ?

Réponse de Gilbert

Nai que je me souviens de cette marolle kermis et de la fameuse drache que tu as reçue (mea culpa) car ce n'était (pour 1 X) même pas 1 ballon d'eau mais carrément un énorme sac plastique reçu ds 1 boulangerie.. Je me souviens quand cette masse d'eau est tombée !!! Cela a fait vraiment l'effet d'un cratère en-bas... ON (j') était vraiment givré...De mémoire... m'accompagnait Pierreke Plasschaert, Alex Van Rossem, Henri Van Huffel etc.... Gilbert Delepeleere

 

 

Kermesse II

 Photo 5

 

3 kets

 Photo 6

 

A1 -Félicien Couck,

Un vrai Marollien qui a toujours habité rue aux Laines "op de Marolle".
Sa grand-mère Nielle a tenu un café rue Laines juste en face de la rue des Prêtres.
C'était mon ami depuis que j'avais 14 ans avec qui je suis toujours resté en contact et avec qui j'ai été souvent en "zateprossese"!!. Hélas décédé en 200O à l'âge de 54 ans. IL était également l'ami de Barthol, qui lui aussi malheureusement nous a quitté trop tôt.
Couck était aimé par tous ceux qui l'ont connu. A son enterrement beaucoup de ses amis ont pleuré.
Salut mon ami, je pense souvent à toi.
Titi.

 

le curé

Photo 7

Le curé de la Marolle, M. Vanderbist papote avec un habitant, rue Montserrat

 

 

françois Stevens

 Photo 8

Au milieu de la photo,  Jean Stevens et à sa gauche, Jean-Louis Ceuster le frère de Josée.

 

MOSSEL KERMIS SALLE MAROLLIA

Photo 9

Mossel Kermis à la Salle Marollia

 

Salle Marrolia - Nelly en famille.

Photo 10
Fête à la salle Marollia rue aux Laines

A1 Rosine Demeyer ( ma maman )  A2 Lisa (la maman de Myriame bich )
A3 la soeur de ma bobonne(Tante Treiss) A4 Maya ( la fille de tante Treiss et la soeur de Jef Tranquille et la cousine de Rosine.

Le ket c'est Marc (le fils d'Henri Demeyer bich) la dame Mathilde la femme de Toine dit beau citron.

Salle Marrolia - 2
Photo 11

Deux Dames

 

 Photo 12

 Facteur

 

Photo 13

Jef de facteur.

J'ai toujours connu ce facteur sur la Marolle, aux dires des gens du quartier, il a acheté une maison, grâce aux pourboires qu'il recevait.

Il faut dire qu'à cette époque les comptes en banque n'existaient pas, et toutes les allocations venaient avec un chèque vert. Et à chaque fois un petit pourboire pour JEF.

Les gens de la marolle étaient très généreux.
Ecrit par francine Kohne.

 

 marolle kermis 1965

 Photo 14

 

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 Photo 15

 

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Krol, le papa de Marie et Georgette Peneman

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 Photo 20

Le premier commerce, à droite de la photo, est le café « Chez Annatje » ensuite on voit la vitrine du coiffeur « Figaro » et à côté la boulangerie dont je ne me souviens plus le nom.
Ecrit par Francine Kohne
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Photo 21

Au fond à droite c est Mick le facteur, le mari de Jeanne la soeur de "Patafrit" et le petit enfant, c' est Henri Dedoyard, le petit fils de "Patafrit" et fils de Francine.
Merci à Petit Pat pour l'info.

 

 

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 Photo 22

CROL le papa de Marie et Georgette Penneman

 

Un Pei

Photo 23

 

Les filles de la Marolles -1939

Photo 24

 

Cette photo date de 1939 rue Wynants au mur du Palais de Justice.
Elles étaient bien élégantes les filles de la Marolle.

A1 Rosine( ma maman à 20 ans),
A2 Maya sa cousine
A3 ?,
A4 Marcelle van op de Marolle.
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plein

 

 

katten10

 

 

 

Jeannine de Guillaume

Photo 26

Jeannine Surdiacourt et ses deux frères. 

 

Francine

Photo 27

francine, sa petite soeur Josiane et Francine Kekenbosch.

 

deux frères

Photo 28

Les deux frères de Jeannine

 

 

Jeannine 1945
Photo 29

Jeannine et son frère Louis à la libération de 1945, rue aux laines.

 

Marcelin le Marseillais - Photo de Guillaume Kekenbosch
Photo 30

 

Marcelin,  "Le Marseillais",qui tenait le café sur le coin de la rue aux laines et de la rue de la Prévoyance

 

OP DE MAROLLE

 

Photo 31
L'épicerie de "Lange Maree", au coin de la rue de la Prévoyance et de la rue aux laines (1933) Dans l'ouverture de la porte Alice et son mari.

 

 

rue_montserrat - merci à Titi.

 

 

 

OP DE MAROLLE

 

 

 

andre arix,guillaume kekenbosch,nelly lallemand
Photo FB 1





andre arix,guillaume kekenbosch,nelly lallemand
Photo Face Book 2

Maria Kees

 

 

 

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Photo 32

Cité Courbet - 44 rue Montserrat.

 

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 Photo 33

 



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 Photo 34

 

 

Un Voddeman

 Photo 35

 

OP DE MAROLLE

 

bij den bich
Photo 36

Café "Bij den Bich"

 

 

 

Bich cousin de Nelly

 Photo 37

 

bich henri

Photo 38

Le café du "Coq" ci-dessus qui à ce jour n'existe plus.

Etait situé rue Montserrat au coin de la rue des Prêtres. C'était encore le seul café existant du temps où la Marolle "Marollait".

Un jour j'ai vu mon cousin Jean bich à TV Brussel. Il répondait à une interview en bruxellois. Je me souviens qu'il racontait que quand il faisait son service militaire, à la Marolle rien que rue Montserrat et les rues avoisinantes (op de Marolle comme disait ma boma Bich) à cette époque il y avait 33 cafés.

Jean était un vrai marollien, une figure légendaire de la Marolle. Il a toujours habité dans cette maison au dessus du café.

Je crois que c'est en 1975 qu'il a reprit le café de son oncle Jean qu'on appelait "Jean Coq".

Jean Bich est décédé en 2001,
2 mois après  ma maman (Rosine)qui était la sœur de son père(Jean) décédé très jeune. Pour elle Jean était comme son fils.
Ecrit et photo de Nelly Lallemand 


MARIA KEIS R MONTSERRAT

AVANT

APRES

 

RUE MONTSERRAT 05062006

Photo 39 - merci à Guillaume Kekenbosch

 

Vue Générale de la Marolles

 

Histoire de la Marolles

C'est à cet endroit, que se trouve la modeste chapelle , de Notre Dame de Montserrat.

 

 

La Marolles - Curé

 Photo 40

 

 

Miss op de Marolle - merci Lomme

 

Photo 41

Pour les deux photos - merci à Guillaume Kekenbosch.

 

Affiche Marolles kermis - Merci Lomme

 

 

 

André ARIX

Extrait du programme - Souvenir Kermesse Notre-Dame-au-Rouge 1964

 

Petits Métiers

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Petits métiers de Bruxelles ville.

 

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Mariage sur l'échafaud

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UN MARIAGE SUR L’ECHAFAUD

 

En 1558, l’on pouvait voir se dresser sur la Grand Place de Bruxelles un échafaud autour duquel la foule se pressait lors des exécutions publiques.

 

Un jour, alors que la cloche de l’église Saint-Nicolas sonnait le glas, l’on se préparait à procéder à l’exécution d’un garçon brasseur que l’on avait condamné pour la perpétration d’un crime odieux. Lequel ? Un meurtre, semble-t-il. Quoiqu’il en soit, le condamné, encore jeune, s’avança bientôt vers le lieu de son supplice attirant sur sa personne les regards apitoyés des badauds. « Quel visage calme et empreint de douceur : il n’est point possible que cet homme ait tué ! Et s’il a tué, ce devait être sous l’emprise de la colère et il doit aujourd’hui amèrement regretter son geste ! Quel dommage de mourir si jeune !», voilà les commentaires que l’on pouvait entendre dans la foule.

 

Le condamné, lui, continuant à marcher vers son destin, monta sur l’échafaud, se confessa au prêtre, s’agenouilla et attendit le coup fatal du bourreau, lorsque soudain, du coin de la place, des cris s’élevèrent et une jeune femme, pleurant et gémissant, surgit de la foule. Elle se jeta à genoux devant les fenêtres de l’Hôtel de Ville où se tenaient les échevins assistants à l’exécution. Les magistrats s’interrogeaient du regard, se demandant à quel privilège ils devaient d’assister à cette scène pathétique, lorsque la jeune femme se rua dans l’Hôtel de Ville et apparut brusquement à leur côté.

 

La foule, quant à elle, restait littéralement pétrifiée, ne sachant que faire ni que penser. Quant au bourreau, il se tenait à présent appuyé des deux mains sur son arme (hache ou glaive), alors que dans les yeux du condamné semblait briller une lueur d’espoir. « Grâce ! » criait la jeune femme à l’attention des échevins. La rumeur s’empara bientôt de la plèbe. L’on prétendait que la jeune femme n’était autre que la fiancée du condamné. Les femmes sentaient des larmes leurs monter aux yeux, alors que les hommes eux-mêmes commençaient à parler d’absoudre le garçon brasseur.

 

Mais, sur ces entre-faits, le bourreau, lui, s’était remis en position et se préparait à porter le coup fatal, lorsqu’il fut interrompu pour la seconde fois par une immense clameur. C’est la foule, cette fois, qui demandait que l’on gracie le condamné en criant « merci, merci ! » (« pitié, pitié », selon l’ancienne formulation). Un magistrat fit un geste pour signifier au bourreau de surseoir à l’exécution –du moins est-ce ainsi que l’on interpréta les mouvements dudit magistrat-, alors que la jeune femme, fendant la foule, volait littéralement jusqu’à l’échafaud et se jetait au cou du condamné.

 

Les magistrats accordèrent la grâce au garçon brasseur mais y mirent cependant une condition, en accord avec le droit de grâce de cette époque : la jeune fille devait prendre le condamné pour époux. Il fut fait ainsi et le prêtre bénit sur le champ cette bien étrange et émouvante union, sous les applaudissements nourris de la foule attendrie.   

 

 

Eric TIMMERMANS.

 

Sources : Légendes bruxelloises, Victor Devogel, TEL / Paul Legrain (J. Lebègue et Cie), 1914 (p. 173 à 178).

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